Michel Delpech
Il était cinq heures du matin
On avançait dans les marais
Couverts de brume
J'avais mon fusil dans les mains
Un passereau prenait au loin
De l'altitude
Les chiens pressées marchaient devant
Dans les roseaux
{Refrain:}
Par dessus l'étang
Soudain j'ai vu
Passer les oies sauvages
Elles s'en allaient
Vers le midi
La Méditerranée
Un vol de perdreaux
Par dessus les champs
Montait dans les nuages
La foret chantait
Le soleil brillait
Au bout des marécages
Avec mon fusil dans les mains
Au fond de moi je me sentais
Un peu coupable
Alors je suis parti tout seul
J'ai emmené mon épagneul
En promenade
Je regardais
Le bleu du ciel
Et j'étais bien
{Refrain}
Et tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimer les accompagner
Au bout de leur voyage
Oui tous ces oiseaux
Qui étaient si bien
Là-haut dans les nuages
J'aurais bien aimer les accompagner
Au bout de leur voyage
"El hombre es enemigo de lo que ignora: enseña una lengua y evitarás una guerra, expande una cultura y acercarás un pueblo a otro" NAÍM BOUTANOS. "If you speak to a man in a language he understands, you speak to his head. If you speak to a man in his own language, you speak to his heart" NELSON MANDELA « C'est une langue bien difficile que le français. À peine écrit-on depuis quarante-cinq ans qu'on commence à s'en apercevoir. » Colette
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