Belle et Sébastien
Je connais les brumes claires
La neige rose des matins d'hiver
Je pourrais te retrouver
Le lièvre blanc qu'on ne voit jamais
Mais l'oiseau, l'oiseau s'est envolé
Et moi jamais je ne le trouverai
Car j'ai vu, l'oiseau voler
J'ai vu l'oiseau, je sais qu'il partait
Je l'ai entendu pleurer
Le bel oiseau que le vent chassait
Je voudrais tout te donner
Mais toi pourquoi ne me dis tu rien
Quel est-il ton grand secret
Un secret d'homme
Je le comprends bien
Mais tu sais je peux te raconter
Combien l'oiseau est parti à regret
Si un jour tu m'écoutais
Tu apprendrais tout ce que je sais
L'oiseau part et puis revient
Tu le verras peut-être demain
Si jamais je rencontrai
Ce bel oiseau qui s'est envolé
S'il revient de son voyage
Tout près de toi le long du rivage
Moi vois-tu je lui raconterais
Combien pour toi je sais qu'il a compté
C'est l'oiseau que tu aimais
L'oiseau jaloux je l'ai deviné
Si jamais il revenait
Je lui dirais que tu l'attendais
"El hombre es enemigo de lo que ignora: enseña una lengua y evitarás una guerra, expande una cultura y acercarás un pueblo a otro" NAÍM BOUTANOS. "If you speak to a man in a language he understands, you speak to his head. If you speak to a man in his own language, you speak to his heart" NELSON MANDELA « C'est une langue bien difficile que le français. À peine écrit-on depuis quarante-cinq ans qu'on commence à s'en apercevoir. » Colette
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