"El hombre es enemigo de lo que ignora: enseña una lengua y evitarás una guerra, expande una cultura y acercarás un pueblo a otro" NAÍM BOUTANOS. "If you speak to a man in a language he understands, you speak to his head. If you speak to a man in his own language, you speak to his heart" NELSON MANDELA « C'est une langue bien difficile que le français. À peine écrit-on depuis quarante-cinq ans qu'on commence à s'en apercevoir. » Colette
lunes, 25 de abril de 2011
EDDY MITCHEL : Toujours un coin qui me rappelle (1965)
Je marche seul le long des rues
Où nous allions tout deux avant.
A chaque pas, je me souviens
Comme on s'aimait auparavant.
Comment pouvoir t'oublier ?
Il y a toujours un coin qui me rappelle,
Toujours un coin qui me rappelle.
Je suis né pour t'aimer
Et je serai toujours ainsi.
Tu restes la vie de ma vie.
Wowowo...
Quand l'ombre vient, mon pas m'entraîne
Où l'on allait danser le soir.
Je me revois, là, t'embrassant
Et serrant fort tous mes espoirs.
Comment pouvoir t'oublier ?
Il y a toujours un coin qui me rappelle,
Toujours un coin qui me rappelle.
Je suis né pour t'aimer
Et je serai toujours ainsi.
Tu restes la vie de ma vie.
Wowowo...
Wowowo hoho wooo
Wowowooooooooooo
instrumental break
Mais si ton cœur regrette un jour
Ce grand amour que l'on vivait,
Reviens alors à cet endroit
Où l'on allait et j'y serai.
Comment pouvoir t'oublier ?
Il y a toujours un coin qui me rappelle,
Toujours un coin qui me rappelle.
Je suis né pour t'aimer
Et je serai toujours ainsi.
Tu restes la vie de ma vie.
Wowowo...
Je n'aimerai personne d'autre...
Je n' t'oublierai pas pour une autre...
Tu restes la vie de ma vie...
iiiiiiiiiiiii
Je n'aimerai personne d'autre... (fade out)
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