CARLA BRUNI:"Quelqu'un m'a dit"
-Pablo Serrano
-Alejandro Serrano
Paroles et activités
MIREILLE MATHIEU :"Pardonne-moi"
Pardonne-moi ce caprice d'enfant
Pardonne-moi, reviens-moi comme avant
Je t'aime trop
Et je ne peux pas vivre sans toi
Pardonne-moi ce caprice d'enfant
Pardonne-moi, reviens-moi comme avant
Je t'aime trop
Et je ne peux pas vivre sans toi
C'était
Le temps des "je t'aime"
Nous deux, on vivait
Heureux dans nos rêves
C'était
Le temps des "je t'aime"
Et puis j'ai voulu
Voler de mes ailes
Je voulais vivre d'autres amours
D'autres "je t'aime", d'autres toujours
Mais c'est de toi que je rêvais la nuit, mon amour
Pardonne-moi ce caprice d'enfant
Pardonne-moi, reviens-moi comme avant
Je t'aime trop
Et je ne peux pas vivre sans toi
C'était
Vouloir et connaître
Toute la vie
Trop vite peut-être
C'était
Découvrir la vie
Avec ses peines
Ses joies, ses folies
Je voulais vivre comme le temps
Suivre les heures, vivre au présent
Plus je vivais, plus encore je t'aimais tendrement
Je ne regrette rien
Non ! Rien de rien...
Non ! Je ne regrette rien
Ni le bien qu'on m'a fait
Ni le mal, tout ça m'est bien égal !
Non ! Rien de rien...
Non ! Je ne regrette rien
J'ai payé, balayé, oublié
Je me fous du passé !
Avec mes souvenirs
J'ai allumé le feu
Mes chagrins, mes plaisirs
Je n'ai plus besoin d'eux !
Balayús mes amours
Et tous leurs témolos
Balayé pour toujours
Je repars à zéro...
Non ! Rien de rien...
Non ! Je ne regrette rien
Ni le bien qu'on m'a fait
Ni le mal, tout ça m'est bien égal !
Non ! Rien de rien...
Non ! Je ne regrette rien...
Car ma vie, car mes joies
Aujourd'hui, ça commence avec toi !
Belén Gardeta Guerrero
ANA TORROJA: "Je rêve"
PEDRO PEDROSA , MARCO SCAPINI ET PEDRO MARTIN
"El hombre es enemigo de lo que ignora: enseña una lengua y evitarás una guerra, expande una cultura y acercarás un pueblo a otro" NAÍM BOUTANOS. "If you speak to a man in a language he understands, you speak to his head. If you speak to a man in his own language, you speak to his heart" NELSON MANDELA « C'est une langue bien difficile que le français. À peine écrit-on depuis quarante-cinq ans qu'on commence à s'en apercevoir. » Colette
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