martes, 26 de enero de 2010

L''imparfait en chanson

Exercice de C.O.: Tous les légumes (Macarena Flevidéo)

Alloween : Le rock dela sorcière
"Si tu me voyais" (+ fiche)  GRÉGOIRE

"Il y avait les mots" SHÉRIFA LUNA (2007) : écoutez , puis faites l'activité de C. Vera.

"J'étais là" ZAZIE

"Nathalie" GILBERT BÉCAUD

"Mon père"   SYVIE VARTAN    Paroles

"Mon vieux"  1   avec Paroles 

Claude Barzotti - Papa

Formidable   STROMAE

Les roses blanches

Buvons le sirop typhon   Paroles

Une chanson connue de tous les français (du moins c'est ce que je crois....).
ALAIN BARRIÈRE: Elle était si jolie  1  2  Les enfoirés   : Fiche


Elle était si jolie
Que je n' osais l' aimer
Elle etait si jolie
Je ne peux l' oublier
Elle était trop jolie
Quand le vent l'emmenait
Elle fuyait ravie
Et le vent me disait...

Elle est bien trop jolie
Et toi je te connais
L' aimer toute une vie
Tu ne pourras jamais
Oui mais elle est partie
C 'est bête mais c' est vrai
Elle était si jolie
Je ne l'oublierai jamais

Aujourd'hui c' est l'automne
Et je pleure souvent
Aujourd' hui c' est l' automne
Qu' il est loin le printemps
Dans le parc où frissonnent
Les feuilles au vent mauvais
Sa robe tourbillonne
Puis elle disparaît...

Elle était si jolie
Que je n'osais l'aimer
Elle était si jolie
Je ne peux l'oublier
Elle était trop jolie
Quand le vent l'emmenait
Elle était si jolie
Je n'oublierai jamais



CHARLES TRENET: Quand j'étais petit.



Film "Je chante" 1938

Oublions le solfège
Pour des rêves meilleurs.
Les murs de ce collège
Sont les murs de mon cœur...

Quand j'étais p'tit, je vous aimais sans rien vous dire.
Je vous voyais soir et matin. Je vous aimais.
On s'amusait avec des riens.
N'importe quoi nous faisait rire :
La barbe du parrain, le nez du pharmacien.
Je me souviens des soirs d'hiver, seul dans la grange
Où j'attendais les yeux fermés Colin-Maillard.
L'amour venait faire ses vendanges.
Nos cœurs étaient des raisins verts.
On s'est aimés à la folie quand j'étais p'tit.

À présent, j'os' vous dire,
Puisque nous sommes âgés :
Je t'aim'. allez-vous rire ?
Moi, je n'ai pas changé...

Quand j'étais p'tit, je vous aimais sans rien vous dire
Mais à présent, dans ma chanson, vous trouverez
Tous les aveux, les souvenirs
Et tous les rêves qui soupirent,
Tous les projets, tous les serments, tous les romans,
Toutes les joies, tous les désirs, toutes les larmes,
La jalousie, les cris, les pleurs et les baisers.
Quand j'étais p'tit, j'ai pas osé
Mais aujourd'hui, y a plus d'gendarmes...
On peut s'aimer à la folie.
On n'est plus p'tit !

CLAUDE FRANÇOIS:Cette année-là


Cette année-là
Je chantais pour la premiere fois
Le public ne me connaissait pas
Quelle année cette annee-là

Cette année-là
Le rock'n'roll venait d'ouvrir ses ailes
Et dans mon coin je chantais belle, belle, belle
Et le public aimait ça

Déjà les Beatles étaient quatre garçons dans le vent
Et moi ma chanson disait marche tout droit

Cette année-là
Quelle joie d'être l'idole des jeunes
Pour des fans qui cassaient les fauteuils
Plus j'y pense et moins j'oublie

J'ai découvert mon premier mon dernier amour
Le seul le grand l'unique et pour toujours le public

Cette année-là
Dans le ciel passait une musique
Un oiseau qu'on appelait Spoutnik
Quelle année cette année-là

C'est là qu'on a dit adieu à Marilyn au cœur d'or
Tandis que West Side battait tous les records

Cette année-là
Les guitares tiraient sur les violons
On croyait qu'une révolution arrivait
Cette année-là

C'était hier, mais aujourd'hui rien n'a changé
C'est le même métier qui ce soir recommence encore

C'était l'année soixante deux
C'était l'année soixante deux
C'était l'année soixante deux
C'était l'année soixante deux


FRANCE GALL: Il jouait du piano debout.


Ne me dites pas que ce garçon était fou
Il ne vivait pas comme les autres, c'est tout
Et pour quelles raisons étranges
Les gens qui n'sont pas comme nous,
Ça nous dérange

Ne me dites pas que ce garçon n'valait rien
Il avait choisi un autre chemin
Et pour quelles raisons étranges
Les gens qui pensent autrement
Ça nous dérange
Ça nous dérange

{Refrain:}
Il jouait du piano debout
C'est peut-être un détail pour vous
Mais pour moi, ça veut dire beaucoup
Ça veut dire qu'il était libre
Heureux d'être là malgré tout
Il jouait du piano debout
Quand les trouillards sont à genoux
Et les soldats au garde à vous
Simplement sur ses deux pieds,
Il voulait être lui, vous comprenez

Il n'y a que pour la musique, qu'il était patriote
Il s'rait mort au champ d'honneur pour quelques notes
Et pour quelles raisons étranges,
Les gens qui tiennent à leurs rêves,
Ça nous dérange

Lui et son piano, ils pleuraient quelques fois
Mais quand les autres n'étaient pas là
Et pour quelles raisons bizarres,
Son image a marqué ma mémoire,
Ma mémoire..

{Refrain}

Il jouait du piano debout
Il chantait sur des rythmes fous
Et pour moi ça veut dire beaucoup
Ça veut dire essaie de vivre
Essaie d'être heureux,
Ça vaut le coup


ANAÏS: " J'sais pas "


Activité

"Le vent de l'hiver" RAPHAEL


JOE DASSIN:Le château de sable


On construit parfois comme les enfants,
[Comme tous les enfants]
Un château de sable et de vent
Un château de sable qu'on bâtit pour l'éternité.
Mais les tous premiers flots vont l'emporter.

J'avais fait pour toi près de l'océan,
[Comme tous les enfants]
Un amour de sable et de vent.
Et pour cet amour
Pour toi la princesse du grand château,
Rien n'était assez fou, ni assez beau.

[Refrain] :
Mais les vagues montent et l'enfant qui revient
Ne retrouve que le sable.
Des donjons, des tours, le lendemain matin,
Il ne reste plus rien...

On construit parfois comme les enfants,
[Comme tous les enfants]
Un château de sable si grand,
Et si vaste qu'on a l'impression de s'y promener.
Qu'il contiendrait la Méditerranée.

J'avais fait pour toi près de l'océan,
[Comme tous les enfants]
Un amour de sable si grand,
(Un amour de sable)
Qu'il était parti pour durer la vie,
Il a tenu l'espace de la nuit.

[Refrain]


MICKEY 3D "Yalil"*


Mickey 3d - Yalil
envoyé par Philodark. - Regardez plus de clips, en HD !

Y avait plus de soleil sur la ville
Et le vent nous glaçait le dos
Et tout le monde avait compris
Qu'c'était la fin des haricots

On s'enfermait comme des débiles
Et on rallumait les fourneaux
Chacun chez soi c'est plus facile
Pour soigner son manque de chaud

Yalil Yalil Nar el kalam
Yalil Yalil Nessi el ° Iyam
Yalil Yalil Tar el Zaman
Yalil Yalil be°i el insan

On n'avait pas l'esprit tranquille
Et les chiens se moquaient de nous
Les clochards crevaient dans la nuit
Et l'abbé Pierre devenait fou
Si vos chiens l'hiver veulent sortir
C'est pas vraiment pour vous faire chier
Mais pour vous montrer dans leur style
Votre manque d'humanité

Yalil Yalil Nar el kalam
Yalil Yalil Nessi el ° Iyam
Yalil Yalil Tar el Zaman
Yalil Yalil be°i el insan


Un peu de tout: Impératif, imparfait,...
MÉLANIE PAIN: « Ignore-moi » + sous-titres

 envoyé par juanfrancekaraoke. - Plus de vie étudiante en vidéo.

Vous pouvez aussi écouter une belle chanson de Michel Jonasz "Les vacances au bord de la mer" et faire un exercice de Compréhension Orale. Cliquer sur DES CHANSONS (en haut à droite).

YVES DUTEIL: Les fées


PIERRE PERRET: "La petite kurde "


Petite si tu es kurde, écoute-moi
Il faut partir et quitter ton chez-toi
Moi, j'ai connu ton sort
J'ai tutoyé la mort
On n'a jamais raison contre un soldat.

Ils étaient cent autour de ma maison;
Aux murs, y avait de l'ail et des poivrons
Le vent était si doux
Le ciel était si clair
Et mon père est tombé dans un éclair.

C'était un matin calme de septembre,
Ils ont amené ma mère dans la chambre
Grand-père dans ses mains
Pleurait comme un enfant
Dehors on entendait hurler Maman.

Grand-mère faisait du pain dans la cuisine
Elle s'effondra le nez dans sa farine
Et sur son c?ur éclôt
La fleur d'un géranium
Dernier hommage qu'elle ait reçu d'un homme.

Grand-père à coups de crosse dans le dos
Implora la pitié de ses bourreaux
J'entendais les soldats
Qui riaient tant et plus
Et Maman sur son lit ne criait plus.

Puis soudain le soleil s'est endeuillé
Les obus éclataient comme des ?illets
La mort faisait ripaille
Jusque dans mon jardin
Il n'y poussait plus que des orphelins.

La pluie qui avait cousu tout l'horizon
Faisait fumer les ruines des maisons
Et tout en s'éloignant
Du ciel de Babylone
Je compris que je n'avais plus personne.

N'écoute pas les fous qui nous ont dit
Qu' la liberté est au bout du fusil
Ceux qui ont cru ces bêtises
Sont morts depuis longtemps
Les marchands d'armes ont tous de beaux enfants.

Depuis la nuit des temps c'est pour l'argent
Que l'on envoie mourir des pauvres gens
Les croyants, la patrie :
Prétextes et fariboles !
Combien de vies pour un puits de pétrole ?

Petite, si tu es kurde, il faut partir :
Les enfants morts ne peuvent plus grandir.
Nous irons en Europe,
Si tel est notre lot...
Là-bas ils ne tuent les gens qu'au boulot !

Michel Jonasz:"Les vacances au bord de la mer"

On allait au bord de la mer
Avec mon père, ma soeur, ma mère
On regardait les autres gens
Comme ils dépensaient leur argent

Nous
Il fallait faire attention
Quand on avait payé le prix d'une location
Il ne nous restait pas grand chose

Alors on regardait les bateaux
On suçait des glaces à l'eau
Les palaces, les restaurants
On n'faisait que passer d'vant
Et on regardait les bateaux
Le matin, on s'réveillait tôt
Sur la plage, pendant des heures
On prenait de belles couleurs

On allait au bord de la mer
Avec mon père, ma soeur, ma mère
Et quand les vagues étaient tranquilles
On passait la journée aux îles
Sauf quand on pouvait déjà plus

Alors on regardait les bateaux
On suçait des glaces à l'eau
On avait l'coeur un peu gros
Mais c'était quand même beau

LA GRANDE SOPHIE : On savait
JEANNE MOREAU: J'ai la mémoire qui flanche
                                    Le tourbillon de la vie  (esp)  
Dalida: Il venait d'avoir 18 ans   Parole, parole
TÉLÉPHONE: Je rêvais d'un autre monde
MOUSTAKI: FLEvidéo: Il y avait un jardin
CARMEN Mª VEGA: Dessous les toits
EDDY MICHEL : Elle avait les yeux menthe à l'eau
JEAN-JACQUES GOLDMAN: Comme toi
CHRISTOPHE MAÉ: Ça fait mal    FLEvidéo
GRÉGOIRE: La promesse      Si tu me voyais (+ fiche) Paroles
PIERRE BACHELET. Vingt ans
ALAIN SOUCHON: Bidon
PATRICK BRUEL: Décalé
VALÉRIO BIG BAND: C'était mieux avant
MICHEL DELPECH: Le chasseur
J.JACQUES GOLMAN: fleVIDÉO: Il changeait la vie  (C.O)
GUESSCH PATTI: Nomade
YVES SIMON: Les gauloises bleues
MICHEL JONASZ: Les vacances au bord de la mer (activité de C.O.)
MICHEL DELPECH: "Le chasseur"
ALAIN SOUCHON:  Les saisons  (c'était)

 H2A
CHANSONS POUR ENFANTS: Il était un petit cordonnier
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